vendredi 25 novembre 2016

Au bonheur des ogres - Daniel Pennac

Couverture La saga Malaussène, tome 1 : Au bonheur des ogresEn résumé...

Ben (ou plutôt Benjamin) Malaussène est bouc-émissaire dans un grand magasin - il récolte devant son chef toutes les plaintes des clients mécontents et joue les malheureux de sorte à émouvoir les clients pour qu'ils te poursuivent pas en justice le magasin. Son quotidien bascule lorsque plusieurs bombes explosent dans la grande-surface. Ben serait le coupable idéal, s'il n'avait pas décidé de mener l'enquête de son côté. Il relate tous les soirs ses avancées à ses frères et sœurs dont il a la charge, fruits des nombreuses conquêtes de leur mère qui les a abandonnés. Ainsi, Clara, la photographe des moments tristes, Jérémy, le cartésien, Thérèse, la passionnée de l'au-delà, Louna, enceinte jusqu'au cou, le Petit qui rêve des ogres Noël, Julius, le chien épileptique et Tante Julia, sa dulcinée dont il a inventé le patronyme vont aider Ben dans la résolution de l'énigme.

Mon avis...

Depuis le temps que je souhaitais lire un bouquin de Pennac... Voilà chose faite ! J'ai été assez déroutée par le style narratif dans les premières pages. Je ne m'attendais pas du tout à du décousu et du fantasque. Et je dois avouer que ça a perturbé ma compréhension des faits. Finalement, je me suis prise à l'histoire à partir de la moitié du livre, le tout s'éclairant peu à peu. Cependant, certaines zones d'ombre demeurent. Je n'ai notamment pas tout compris du projet de/des assassin(s) (c'est pour maintenir le suspense). J'ai trouvé les raisons invoquées un peu tirées par les cheveux. Mais bon, j'attends de voir le film. Peut-être que les choses s'éclairciront un peu. Pennac a ici une plume particulière (je ne sais pas si c'est également le cas dans ses autres écrits) mais très originale et il réussit à rendre les personnages attachants et atypiques. On aime bien cette petite famille complètement délurée, accompagnée du chien tout aussi déjanté que ses maîtres. Sans oublier le métier de Ben qui, en creux, est une critique du système des grands magasins: tromper le consommateur pour éviter des ennuis.

Je suis une fois de plus partagée mais je vais me précipiter sur le film et j'ai bien envie de tenter la suite de la saga Malaussène.

D'un coup d’œil, les plus, les moins...

+ Des personnages hauts en couleur
+ Une intrigue originale, façon enquête policière édulcorée

- Le style déroutant et parfois peu clair de l'auteur

Dernières infos...

Au bonheur des ogres est paru en 1985 et compte 287 pages

Il est le premier tome de la Saga Malaussène. Les autres tomes sont, dans l'ordre: La fée Carabine, La petite marchande de prose, Monsieur Malaussène, Des Chrétiens et des Maures, Aux fruits de la passion, Monsieur Malaussène au théâtre.

Ce premier tome a été adapté au cinéma. Il garde son titre et est sorti en 2013.

Daniel Pennac est également l'auteur des très connus Chagrin d'école et Comme un roman.

Ma note...


Tag Les couleurs


Bonjour à tous!


Je reviens aujourd'hui avec un tag sur le thème des couleurs proposé par les éditions Pocket Jeunesse  (lien vers leur page). Le but est toujours le même: répondre à 12 questions en lien avec le thème en citant à chaque fois un livre. Le but est de passer en revue sa bibliothèque!

Allez hop, c'est parti !

1. Un des mots du titre est une couleur.


Les yeux jaunes des crocodiles
Katherine PANCOL
Une saga toute fraîche qui s'étend sur six tomes (la série des Muchachas suit les trois premiers tomes). L'idéal lorsqu'on n'a pas envie d'une lecture prise de tête!

2. La couverture est en majorité jaune.

Jean TEULE
Un tout petit livre à l'humour noir exquis! Je vous le conseille!

3. Tous les tons de la saga sont dans les mêmes tons

Stieg LARSSON


Sans hésiter, Millenium ! Car on reste toujours dans les tons rouge et noir. C'est vrai pour tous les pollars issus de la même collection mais bon, on ne va pas chipoter...

4. Les couleurs de la couverture reprennent celles du drapeau de votre pays.

Fabrice NICOLINO

Un empoisonnement universel par Nicolino

Bon, là, c'était un peu compliqué de répondre à cette question... D'ailleurs, je ne suis toujours pas très convaincue par mon choix. En tout cas, voilà un livre remarquable à mettre dans les mains de tous ceux qui souhaitent se battre pour la sauvegarde de l'environnement en en sachant un peu plus sur toutes les matières dangereuses qui nous entourent...

5. Le titre du livre est de couleur rouge

David NICHOLLS

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Une jolie histoire même si la fin n'est pas très heureuse. Mais Chut! Je ne vous en dis pas plus!

6. La couverture est aux couleurs de l'automne

Le parfum
Patrick SÜSKIND

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Ouh là, ça commence à se corser! Je ne suis pas très sûre de mon choix mais sur cette couverture, j'y vois du vert, du marron, de l'orangé/rouge dans le bras. Et je trouve que le paysage à l'arrière plan pourrait être un paysage d'automne; c'est probablement dû à la lumière qui se fait rare. Voilà une lecture assez spéciale (le film l'est encore plus!) que je relirai peut-être pour la chroniquer, quand mon moral sera au top de sa forme!

7. La couverture reprend uniquement 3 couleurs.

Jean-Paul DIDIERLAURENT

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Du rouge, du jaune, du gris... Pour ce très joli roman que je conseille au plus grand nombre !

8. Il y a un effet brillant sur la couverture.

Un Noël pas comme les autres
Sheila ROBERTS

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Bon, ça ne se voit peut-être pas trop sur la photo, mais il y a tout un tas de petites paillettes qui brillent de mille feux sur la couverture. Suite au swap de Noël réalisé avec Liloupidou, ce livre a rejoint ma PAL. J'attends les vacances de Noël pour le lire !

9. La couverture est en majorité verte.

La carte et le territoire
Michel Houellebecq

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Vous vouliez du vert?! En voilà à profusion! Un livre que j'avais vraiment bien aimé sur la vie de Jed, un artiste qui utilise les cartes routières pour fabriquer ses œuvres, original. 

10. La couverture est de votre couleur préférée

Muriel BARBERY

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J'aime beaucoup le rose mais pas le rose fuchsia, tape à l’œil. Je préfère les différents rose de cette fleur. Je trouve cette couverture pleine d'élégance et de délicatesse, à l'image de ce roman...

11. La couverture reprend au moins les 7 couleurs de l'arc-en-ciel (rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet).

Katarina BIVALD

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Pour celui-là, j'ai vraiment galéré... Car les couleurs de l'arc-en-ciel ne sont pas flagrantes sur cette couverture mais en cherchant bien, si, si on les voit ! Une histoire toute légère, mettant du baume au cœur, je vous la conseille une fois que le printemps sera là !

12. La couverture est noire et blanche.

Timur VERMES

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C'est dommage, il y a un peu de rouge... Je trouve le graphisme extrêmement bien réalisé pour la couverture de ce livre qui imagine le retour d'Hitler dans les années 2000. 

Et voilà, c'en est fini de ce tag ! Il a été un peu difficile à faire par moments et je ne suis pas sûre de toutes les couvertures que j'ai mises. Mais bon, étant une grande perfectionniste, je pourrai y passer des heures. Je crois donc qu'il est plus sage de m'arrêter là. N'hésitez pas à laisser vos propres choix ou avis en commentaires, ça fait toujours plaisir !

jeudi 17 novembre 2016

La fabrique des jeunes gens tristes - Keith Gessen

En résumé...

Voici la chronique américaine aux origines russes de trois jeunes hommes, Keith, Mark et Sam. Tous trois ont pour point commun d'être intelligents, de faire partie des thésards américains et d'être complètement perdus avec les femmes. Mark est en train de finir sa thèse sur les mencheviks et hésite entre Sacha, Gwyn et Céleste. Sam est convaincu qu'il va écrire la grande épopée sioniste mais ses plans ne se déroulent pas comme prévu. Keith se passionne pour la politique américaine et est le narrateur de cette histoire maussade où ces gens sont bien tristes finalement...

Mon avis...

Ouf ! Enfin fini ce livre qui m'avait tapé à l’œil sur les rayons de la bibliothèque. Le titre ainsi que la quatrième de couverture m'avaient vraiment plu et à la lecture, ce fut une très grande déception. Je m'attendais à une exploration de ce qu'est la nouvelle jeunesse américaine. Ça l'est peut-être mais je n'ai pas su le voir. Tout comme il est censé y avoir de l'humour et je suis encore à sa recherche. Je me suis beaucoup ennuyée pendant ma lecture (quasiment une semaine et demie pour trois cent pages !), je ne comprends pas où l'auteur veut en venir, je trouve que le tout est fade, sans dynamisme. De plus, certains passages parlant du conflit israélo-palestinien, de la politique américaine ou des mencheviks semblent interminables et ont vite fait de perdre le lecteur, surtout s'il n'est pas spécialiste de ces questions. Si les choses avaient été bien expliqués, j'aurais été ravie mais là, tout arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. Bref, j'ai eu la désagréable impression de passer complètement à côté du message. C'est bien parce que je n'aime pas abandonner un bouquin que je ne l'ai pas fait. Pour me rassurer, je suis allée voir les critiques sur Internet et elles sont semblables à la mienne, même si une ou deux sont plus élogieuses.

D'un coup d’œil, les plus, les moins...

- Des personnages auxquels on ne parvient pas à s'attacher
- Pas d'action et une réflexion sur la jeunesse difficile à saisir
- Trop de passages sur des thèmes complexes tels que le conflit israélo-palestinien ou la politique américaine
- Une ambiance froide et ennuyeuse

Dernières infos...

Ce livre est sorti en 2009 pour la version française et compte 300 pages.

Ma note..


samedi 12 novembre 2016

Ensemble, c'est tout - Anna Gavalda

Couverture Ensemble, c'est toutEn résumé...

D'un côté, nous avons Paulette, forcée d'aller en maison de retraite car elle fait des chutes à répétition. Il ne lui reste plus que Franck, son petit-fils qui est désemparé à l'idée de voir sa grand-mère mourir au milieu de ces autres petits vieux incontinents. D'un autre côté, Camille est condamnée à vivre dans une chambre de bonne totalement perméable au chaud et au froid. Elle fait des ménages alors que sa passion est le dessin. Un soir alors qu'elle frôle la pneumonie, elle est récupérée par Philibert, son voisin du dessous aux allures coincées. Il se trouve que celui-ci a pour colocataire le colérique Franck. Les histoires vont se croiser et chacun va guérir l'autre, à sa façon.

Mon avis...

Lorsque je suis tombée par hasard sur Ensemble, c'est tout à la bibliothèque, je n'ai pas hésité à me charger d'un cinquième livre, alors que j'en avais déjà quatre sur les bras, sans même lire la quatrième de couverture. J'avais tellement entendu parler de ce livre que je ne pouvais plus passer à côté.

J'en attendais donc beaucoup, tout en sachant au fond de moi que ce serait très certainement un roman sympathique, qui fait passer un bon moment mais qui ne révolutionne pas la face du monde. Et je ne me suis pas trompée. C'est une mignonne histoire que nous propose Anna Gavalda, remplie de bons sentiments et de jolis discours mais il m'a manqué quelque chose pour que ça décolle et que les émotions prennent une autre ampleur. Je me suis attachée aux personnages mais de façon superficielle. J'ai d'ailleurs eu du mal à les cerner, en particulier Camille. Le style d'écriture m'a parfois dérangée: trop d'effets tue l'effet. Certaines phrases n'ont ni queue ni tête. On dirait que les mots sont jetés sans réflexion. Et la fin est très prévisible. Il ne faut d'ailleurs pas le lire avec l'espoir d'être surpris. Il faut le lire avec l'envie de se laisser porter par les personnages et par leurs sentiments. 

Un avis en demi-teinte puisque j'ai passé un bon moment mais j'aurais aimé aller plus loin dans les ressentis. En tout cas, je peux comprendre qu'on soit sous le charme de cette lecture qui reste très positive.

Dernières infos...

Ensemble, c'est tout a été publié en 2004 et compte 576 pages pour la version poche.

Le livre a été adapté en film par Claude Berri en 2007, avec Audrey Tautou dans le rôle de Camille et Guillaume Canet dans le rôle de Franck.

Ma note...


mardi 8 novembre 2016

Top Ten Tuesday n°1: 10 livres écrits au XXème siècle relatant des faits historiques

Bonjour à tous !

(image provenant du Blog de Frogzine)                                      

Voici mon tout premier Top Ten Tuesday !

Il s'agit d'un rendez-vous créé par The Broke and the Bookish et en ce moment repris par Frogzine dont voici le lien vers son blog: ici.

Le but de ce rendez-vous est très simple: répondre au thème donné chaque Mardi en citant 10 livres.

Cette semaine le thème est: 10 livres écrits au XXème siècle relatant des faits historiques.

Vraisemblablement je n'ai pas encore lu suffisamment de romans historiques puisque je ne peux vous en présenter que 5 aujourd'hui. Il faut que je m'y mette sans plus tarder !

(Vous pouvez accéder à mes chroniques en cliquant sur le titre du livre)

Timur Vermes

Couverture Il est de retour

Il est de retour a été publié en 2012 pour la version originale et en 2014 pour la version française. Comme vous pouvez le voir à la couverture, le protagoniste est Hitler: que se passerait-il s'il se réveillait au milieu de nos démocraties actuelles ?

2. La part de l'autre
Eric-Emmanuel Schmitt

Couverture La Part de l'autre

On reste avec Hitler puisque Eric-Emmanuel Schmitt s'interroge ici sur ce qu'il serait devenu s'il avait réussi le concours d'entrée des Beaux Arts. Un livre publié en 2001.

3. Un secret
Philippe Grimbert

Couverture Un secret

Voici encore un livre qui traite de la Seconde Guerre Mondiale mais sous un angle différent: l'impact que la guerre a pu avoir sur les secrets de famille. Une autobiographie publiée en 2004.

4. La jeune fille à la perle
Tracy Chevalier


On quitte la Seconde Guerre Mondiale pour découvrir ce qui aurait pu être l'histoire de ce tableau de Vermeer, La jeune fille à la perle. Tracy Chevalier s'est penchée sur cette fiction en 2000 pour la version française.

5. Constellation
Adrien Bosc


Adrien Bosc retrace ici le destin des passagers à bord de l'avion qu'avait pris Marcel Cerdan pour rejoindre Edith Piaf et qui s'écrasa le 27 Octobre 1949. Un livre publié en 2014.

6. La voleuse de livres
Marcus Zusak


Un livre publié en 2007 et qui traite de la Seconde Guerre Mondiale. La vie de Liesel, petite fille allemande alors que le pays est sous domination nazie est racontée par une narratrice un peu particulière, la Mort.

7. Un goût de cannelle et d'espoir
Sarah McCoy


Un livre publié en 2013 dont l'histoire est à cheval entre le passé et le présent, l'Allemagne nazie et les États-Unis d'aujourd'hui. C'est la vie d'Elsie qui nous est narrée, à l'époque où il faut montrer patte blanche devant le régime nazi puis soixante ans plus tard, alors qu'elle est patronne de sa propre pâtisserie.

8. L'île des oubliés
Victoria Hislop


Victoria Hislop nous raconte en 2006 l'histoire d'une jeune femme partie en Crète à la découverte de l'histoire de ses aïeux. Cette initiative la conduit sur l'île de Spinalonga qui a accueilli entre 1903 et 1957 des lépreux.

vendredi 4 novembre 2016

Le dernier jour d'un condamné - Victor Hugo

Couverture Le dernier jour d'un condamné
En résumé...


Il me semble que l'histoire du Dernier jour d'un condamné est déjà très connue. Je vais quand même en dire quelques mots mais ce sera succinct. Le narrateur dont l'identité n'est pas connue rédige ses dernières lignes. En effet, il a été condamné à mort. Pourquoi? Le mystère reste entier. On lit seulement les derniers jours: il nous livre tout, depuis son procès jusqu'à l'ultime seconde, lorsqu'il est placé sous la lame tranchante de la guillotine. Sont alors décryptés ses sentiments au sein de ce système carcéral inhumain.

Mon avis...

J'avais lu ce roman aux allures de journal intime il y a bien longtemps, au collège. Je l'ai relu pour pouvoir le chroniquer mais aussi pour me rafraîchir la mémoire. Pas d'analyse ici, il me semble que d'autres beaucoup plus qualifiés que moi l'ont fait à plusieurs reprises. Je dirais juste que le récit est vraiment poignant. Cela est rendu possible par l'écriture merveilleuse d'Hugo mais aussi par la volonté de taire l'identité du narrateur. Le lecteur n'est pas tenté de le juger. Il se concentre simplement sur les émotions et les impressions du condamné. Finalement, on s'en fiche de savoir comment il en est arrivé là. Tout ce qu'on sait, c'est que traiter des hommes de cette façon est abominable. Présenter les choses ainsi, en appelant aux sentiments est encore plus frappant et intelligent pour combattre la peine de mort. Un vif émoi a suivi la publication de ce livre en 1829 : non seulement Hugo s'attaquait à un sujet très sensible mais il bouleversait aussi les codes de la littérature en faisant parler son condamné au travers de chapitres si courts.


Si vous souhaiter le lire, je vous conseille de vous procurer une édition pour lycéens ou étudiants: on y retrouve des analyses très complètes des thèmes abordés par l'auteur et du contexte.


D'un coup d’œil, les plus, les moins...

+ Le genre qui se rapproche du journal intime
+ L'écriture très juste
+ L'engagement et l'intelligence de Hugo
+ Les sentiments qui sont développés


- On peut parfois être perdus dans les termes propres à cette époque


Dernières infos...

Le dernier jour d'un condamné a été publié sous anonymat la première fois, en 1829. Trois ans plus tard, en 1832, une seconde publication a lieu. Cette fois-ci, on retrouve au côté du texte principal une préface présentant plus farouchement son opposition à la peine de mort et une petite pièce de théâtre "Une comédie à propos d'une tragédie".



Le tout fait un peu moins de 145 pages.


Ma note...


Challenge...

challenge-des-100-livres-chez-bianca


Cette lecture rentre en compte pour le challenge Les 100 livres à lire au moins une fois organisé par Bianca du blog Des livres, des livres dont voici le lien.